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Monde rempli de vide


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"Là où l'on se sent le mieux est encore mieux que là où l'on se sent bien"

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Tribune

Mardi 25 Mai 2004
Croisement de mots
C'est étrange je me suis fais la remarque qu'on peut croiser la même personne plusieurs fois dans une même journée voire la matinée.

Ce matin, j'ai croisé la dame qui vient remettre de la bouffe dans le distributeur de calories et cette après-midi elle est repassée mais cette fois à mon étage. Et puis je l'ai revu encore une autre fois... dans les toilettes. Dans ce lieu qui sont les WC, on croise tout le monde, et des fois on se prend à rire d'entendre pisser cette même personne, surtout si c'est une personne que l'on ne porte pas dans son cœur.

D'autres fois encore, on rêve d'entrevoir seulement une main ou un bras d'une personne que l'on désire au plus haut point, oui mais... on ne croise jamais ou rarement cette personne. Pourtant au fond de nous-mêmes on se maudit de croiser plusieurs fois par jour madame calories alors qu'on rêve de voir monsieur informatique ou bien monsieur commercial et son sourire à tomber Colgate.

Mais non, on ne croise que les vieilles bonne femmes rabougries de la comptabilité ou pire encore les petits génies informaticiens à lunettes de l'info. Alors on se repose derrière son PC en espérant toutefois apercevoir au détour d'un couloir les deux petites fesses en pommes moulées dans le pantalon à pince de monsieur l'informaticien, sur lequel, on se prend à fantasmer comme une adolescente.

En sachant tout de même que monsieur l'informaticien est marié puisqu'on a aperçu l'autre jour une jolie alliance dorée à son annulaire gauche, alors au fond de nous on se maudit encore de ne pas l'avoir rencontrée plutôt et de ne pas l'avoir attrapé avant sa gentille femme.
Ecrit par Valandra A., à 17:52 dans la rubrique "Journal en cours".
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Conséquences de l'amour, le vrai
Compte rendu du médecin : rhinite allergique ! Bof, tu parles ! La première année que les allergies (au travail ?) m'attaquent.

Enfin tout ça me casse un peu les noix quand même. Hier, je ne savais même pas ce que je mangeais, je n'ai plus aucun goût dans la bouche, papilles gustatives en panne.

Et je ne parle pas de ma voix super nasillarde, on dirait Pikachu qui parle...

Bref...

Avec Chéri tout se passe toujours aussi bien, sauf, que de temps en temps, il me les casse. Il est trop après moi, je vais pas m'envoler quand même !

Sinon je n'ai plus aucune nouvelle de Romain, et j'aimerais bien savoir comment il va et tout le toutim. Mais pas de réponses à mes appels téléphoniques ni à mes e-mails... Je suis tristounette. Un autre aussi qui a disparu de la surface de la terre : Thierry. Hier avant de dormir, je lui ai envoyé un petit texto histoire de prendre la température et il ne m'a pas répondu. Je pense qu'il a d'autres chattes à fouetter. Quoiqu'il ne soit pas au courant de ma vie avec Chéri. Enfin, vu que ça fait déjà presque un mois que je ne l'ai pas appelé et lui non plus d'ailleurs, je suppose qu'il n'est pas trop affecté par ma non-présence. Quand je repense à ce qu'on a partagé, je me dis que c'est un enculé quand même... Non mais sans blague !

Je pense souvent à Romain, et il me manque, des fois rien que je l'appelle pour entendre sa voix sur son répondeur. Et bien sûr je raccroche sans laisser de messages.

Sebounet aussi, je pense à lui souvent. Même si nous ne nous sommes jamais vus réellement, je pense qu'entre nous les choses auraient pu être chaudes. Il m'a envoyé un texto il y a de ça  semaines et je lui ai envoyé un mail en lui disant que j'avais rencontré quelqu'un d'autre. Mail auquel il ne m'a pas donné de suite mais je le comprends. Si j'avais reçu un mail identique de sa part, je pense que j'aurais eu du tort et que j'aurais préféré oublier.

Enfin, ainsi va la vie...
Ecrit par Valandra A., à 10:27 dans la rubrique "Journal en cours".
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Lundi 24 Mai 2004
Prise de fatigue nasale
Je vais ici me plaindre, j'ai le nez rouge, des larmoiements plein les mirettes, un mouchoir humide dans la poche droite, et le bout de l'index sec (cherchez pas pourquoi). Mes narines ressemblent plus aux naseaux du cheval qu'à ce à quoi il ressemble à l'oginie. Mes lèvres inférieures sont aussi rèches que du papier de verre à force d'essayer de respirer par la bouche et dû au frottement du kleenex à ce même endroit.

Je suis enrhumée, en plein mois de mai, voire en début juin. Dû certainement au fait que samedi dernier je me sois mise en robe d'été et que vendredi, j'avais remis mon jean et mon gilet pilou. Ce brusque changement de température exagérée a eu raison de moi. Mes sinus n'ont fortement que peu apprécié ce changement et se sont vengés en vomissant partout des coulures transparentes salées.

Ne me reste à la limite que de me morfondre et me faire cajoler par Chéri qui est aux petits soins pour moi, le médecin aura raison du mal qui me ronge ce soir. Je vais encore vivre au rythme de mes antibiotiques rouges et blancs de forme géluliques et forme plutôt phallique à me rentrer dans le nez afin d'en chasser les microbes qui s'y sont installés sans autorisation.

Je pense être mieux avant la fin de la semaine afin de pouvoir me consacrer à ma connexion internet qui sera installée si tout va bien pour samedi matin (en attendant toutefois que le PC soit remonté et en état parfait de fonctionnement !)

Allez chuss !!!
Ecrit par Valandra A., à 16:33 dans la rubrique "Journal en cours".
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Mort d'un PC
--> ...comment la carte graphique a lâché hier
Hier mes parents partis, la maison pour nous tout seuls avec Chéri, je prends une délicieuse douche et Chéri se pose devant l'ordi pour jouer à Diamants. J'entens le PC pousser de faibles bips et l'écran afficher des carrés multicolores. Il me dit c'est rien la prise du moniteur est mal branchée, je m'exécute mais ça ne change rien au problème.

On commence tout les deux à pester et à maudire ce PC et puis on décide de formater, se doutant d'une faille dans la configuration. Mais rien n'y fait, le formatage ne s'effectue guère et le PC plante de plus belle !

Résultat : la carte graphique est morte et le reste avec. Puisque tout est un intégré Chipset de merde et que maintenant faut tout changer. On a fait des calculs savants sur un post-it afin de bien dépenser et correctement. Enfin, reste à voir si c'est le moment de faire des frais ou alors d'attendre que Chéri ramène son Pc à lui. On va voir ça cette semaine, on va en discuter et peser le pour et le contre.

A part ça, et bien, tout les meubles utiles ont réintégrés mes mains, et maintenant le logement est super joli, ne reste plus qu'à rafraîchir le papier peint et à accrocher de jolis tableaux afin d'égayer notre univers un peu maussade à tout les deux.
Ecrit par Valandra A., à 11:39 dans la rubrique "Journal en cours".
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Mercredi 19 Mai 2004
Tout compte fait
Tout compte fait, la prise de tête pour ce week-end de l'ascension s'est arrêtée cette après-midi.

Mon ange n'a pas eu l'autorisation de prendre sa voiture pour qu'on aille en Vendée tout les deux, donc on s'est résolu à en louer une... mais comme son permis n'est pas si vieux que ça (juste un an et des brouettes !) ce n'est pas possible. Ne restait comme solution que le TGV mais vu le prix on abandonne et on n'y pense même pas en dream.

J'appelle mes parents pour leur dire qu'on ne vient plus et là, à mon grand étonnement, pas de cris de soupirs, juste me dire qu'on n'a qu'à pas venir, on fera des économies et que ce n'est pas si grave que ça peut le paraître. Donc soulagée, excusez-moi du peu, je me sens zen d'un coup.

Là aujourd'hui, il fait chaud, ce matin, j'ai sorti la jupe mais j'ai encore bien trop chaud... Je n'ai qu'une envie c'est de me désaper et de m'allonger sur mon lit à poil. Mon homme viendra s'empresser de couvrir mon corps de baisers et certainement nous ferons l'amour...
Ecrit par Valandra A., à 17:34 dans la rubrique "Journal en cours".
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Lol ! Je n'arrive pas à trouver un titre...

J'ai eu droit à des excuses hier soir. On a dîné et peu parlé. Je suis toujours soucieuse de ce qu'il s'est passé hier matin.

Je ne sais plus quoi penser et j'ai l'impression, enfin je suis certaine, que je me suis monté un bateau sur ses relations avec son amie. Il ne se passe effectivement rien entre eux, et je pense que je suis un peu trop jalouse et possessive. J'aime trop mon homme et je n'aime pas savoir qu'il a de l'affection pour quelqu'un d'autre, surtout si ce quelqu'un d'autre est une fille.

Après dîner, nous sommes allés nous coucher, et il a commencé à me caresser et à m'embrasser. Ca m'a énervée, je n'avais pas envie qu'il me touche ou qu'il m'embrasse. C'est vrai que depuis quelques jours je suis assez énervée et je ne sais pas pourquoi. Tout me crispe et je me stresse. Pffff...

Sentant ma froideur à son égard, il a arrêté ses câlins et je me suis tournée dos à lui afin de lui faire bien comprendre que je voulais qu'il me fiche la paix. Je me suis endormie et il en a fait de même, la télé en sourdine. Un peu plus tard vers je ne sais quelle heure, la télé toujours en sourdine, la lumière grande allumée, il dort. J'attrape les télécommandes et éteint le tout et je lui murmure d'éteindre aussi la lumière. Il se lève, éteint et va dans la salle de bains. Je me rendors de suite, il revient se coucher et me demande si je dors. Bien sûr mais maintenant tu m'as réveillé ! Grrrr.

Qu'est-ce que je peux être désagréable avec lui. J'admire sa patience et sa compréhension quant à mon énervement. Il se prend toutes les brimades que je peux lui sortir et ne se vexe pas pour un sou. J'ai envie de faire des efforts et d'être gentille avec lui, comme je l'étais il y a de ça 3 semaines quand nous nous sommes rencontrés. Mais ce n'est pas si facile, je ne sais plus vraiment ce que c'est de vivre avec quelqu'un d'autre et de supporter cette même personne 24h/24h. Mais il faut que j'arrête ma méchanceté et mes remarques déplacées.

Si j'étais à sa place, je gueulerais un bon coup, mais ce n'est pas son genre, il est plutôt du style j'encaisse et je ferme ma gueule.

Ecrit par Valandra A., à 09:20 dans la rubrique "Journal en cours".
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Mardi 18 Mai 2004
Mauvaise conscience
De nouveau, j'ai l'impression que les choses tournent mal pour moi.

Ce matin, on était dans le train pour aller au boulot et un sms sur son téléphone m'a particulièrement énervée et surtout m'a mis une mauvaise puce à l'oreille. Le reste du trajet, je suis restée muette et sourde à ses bisous.

Rien qu'un sms peut ruiner une journée aussi belle. Ce sms de sa meilleur ami qui j'ai l'impression se sent encore plus proche de lui que je ne le suis, le surnomme mon amour, etc. Ce genre de petits noms qu'on ne donne pas à son meilleur ami. J'en fus énervée et en même temps trahi.

Le fait est que je suis de nouveau très jalouse car j'aime. L'amour me rend ainsi, je ne peux rien y faire, malgré moi. Je lui ai tout laché sur le tchat et il me dit qu'il comprend très bien.

Je ne sais plus quoi penser, mon coeur est brisé, pour un putain de sms !!!
Ecrit par Valandra A., à 12:02 dans la rubrique "Journal en cours".
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Lundi 17 Mai 2004
Un petit texte sorti de nul part

En fouillant sur mon PC, j'ai retrouvé ce texte :

L'abattement est là, je le sens, je suis lasse de combattre ce fléau qui me ronge intérieurement. J'ai envie de crier, de pleurer, de courir loin où le vent pourra m'emporter, loin mais assez proche de lui. J'en suis à ne pas ressentir la faim qui s'installe là dans mon antre stomacal. Je suis en pleine folie de mon corps intérieur. Je délire, je vois des images défiler dans ma tête, et puis l'image se stoppe d'elle-même, comme un arrêt sur image. Et je vois ce que je n'ai plus envie de regarder. Je me vois seule au monde, désespérément seule, abandonnée. Je vois les hommes qui sont passés dans mon existence, ceux que j'aimerais oublier et ceux dont j'aimerais me souvenir à jamais. Je vois et je revis mes expériences douloureuses où dans certaines attentes angoissantes, je vivais à ses côtés, lui, mon ex. Je ressens de nouveau ce pincement au coeur, cette sorte d'arrachement brutal de mes viscères, comme une main qui extirpe tout de moi et me laisse mourir sur un sol froid avec mon sang qui s'écoule d'une teinte d'un rouge sombre où se détache des lambeaux de ma peau blanchâtre. La concentration sur ces images passées m'éloigne un peu plus du réel à chaque retour en arrière. J'aimerais, une bonne fois pour toutes, lobotomiser ces souvenirs qui me hantent. Je vois aussi les bons moments et ça me donne envie de les revivre, ces rares moments de bonheur et de joie intense. Hier, je me suis baladée sans but sur les Champs, et pour une fois retrouvant mon chemin, même en marchant sans regarder où j'allais. Je me sentais bien, je marchais droit devant, le vent sur mon visage et mes yeux qui jetaient de chaudes larmes. Je me suis assise, et j'ai regardé le Paris qui s'étendait sous mes pieds. Le week-end prochain, je m'en irais loin, du bruit et des voitures, j'irais là où je me sentirais au-dessus de tout, et en rêve, je survolerais la capitale. J'irais là où les rues sont étroites, là où les boutiques sont minuscules et je m'assoirais de nouveau au-dessus de ce monde, et je scruterais tout et n'importe quoi. Enfin, je fermerais les yeux et je laisserais aller mon esprit loin de cette ville qui ne veut pas de moi. Loin de tout ce monde qui ne m'aime pas, loin, loin... Je rêverais un jour peut-être à ce que je désire en ce moment, je vois aussi cette image dans mon esprit, cette pause merveilleuse où lui et moi nous sommes ensemble et où nous vivons heureux et simplement. Je vois ses mains sur mon ventre rond, et son sourire qui me fait ressentir tout l'amour qu'il me porte, mais je vois aussi, la souffrance lors de la venue au monde de cet être qui aura grandi en moi. Et je vois plein d'autres choses dont je n'ai pas envie de parler ici...

Je ne sais pas quand ni pourquoi j'avais écris ce texte mais je devais être dans un sale état.

Ecrit par Valandra A., à 17:40 dans la rubrique "Journal en cours".
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De plus en plus mieux !
--> (erreur de syntaxe fait exprès !)
Oui, l'amour va de mieux en mieux !

Nous sommes là ensemble sous mon toit, on est là on ne se quitte plus, jamais. On se rend compte qu'on ne peut plus se passer l'un de l'autre, c'est dur les moments sans lui maintenant.

Vendredi soir, il est parti chez ses parents pour récupérer des trucs, et bien je pensais qu'il ne me manquerait pas, que je passerais une soirée toute seule ce qui me permettrait de me vider la tête et d'y voir plus clair. Mais non, mon esprit était absorbé par lui, toujours lui.

Comment peut-on aimer une personne à tel point ? Il y avait bien longtemps que je n'avais pas ressenti cela...

Hier soir, pour la troisième fois nous avons fait l'amour. On dit toujours plus qu'hier et moins que demain, ce qui définie les sensations éprouvées à chaque nouvel échange corporel. De plus en plus, les sensations se font plus intenses et l'envie plus grande. Après un câlin très excitant sur le canapé devant American Beauty, la douceur de la couette nous a interpellé au loin. Prête à sombre dans mon sommeil, il a eu l'idée de me masser le dos puis de m'embrasser un peu partout. Ce qui a eu pour but de m'exciter de nouveau et d'avoir envie de son corps.

L'aventure hasardeuse de nos caresses intimes s'est prolongée au-delà et il a eu envie que ce soit moi qui contrôle tout. Posée en amazone sur son sexe brandit vers moi, j'ai regardé ses yeux se fermer de plaisir lorsque la jouissance est arrivée doucement...

J'aime ces moments où il jouit, son regard s'emplit de tendresse et de lueur. Encore une nuit endormie tout contre lui, mes seins contre ses côtes et ma tête à l'endroit du cœur. Le réveil toujours par sa douce voix qui me murmure un bonjour mon ange...

Je ne veux pas que tout s'arrête, je veux ces moments-là pour toujours sans cesse, à vie même si je devais en mourir... de plaisir.
Ecrit par Valandra A., à 12:17 dans la rubrique "Journal en cours".
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Vendredi 14 Mai 2004
Est-ce la FIN ?

FIN ?

Je viens de parcourir nombres de joueb et la plupart des articles parlent de fermeture !

Qu'arrive-t-il donc à la communauté des jouebbeurs ? Décidément, rien ne va plus...

Peut-on faire quelque chose contre toutes ces envies d'arrêter d'écrire, de s'exprimer librement et en toute simplicité ? Est-ce dû au ralentissement de serveur qu'à connu JOUEB ?

Et cette façon d'écrire un tout dernier post en faisant ses adieux à ses lecteurs ! Je n'aime pas les adieux en général, je n'aime pas lorsque la personne part au loin, le cœur gros et les larmes aux bords des yeux, en se disant que c'est la dernière fois qu'on verra cette personne si chère à notre cœur et à notre esprit.

C'est ce que j'ai ressenti en lisant le dernier post de Wus, j'aimais bien moi le lire.

Si le jouebbeur ne ferme pas son blog, il déclare qu'il laisse de côté un petit moment puis n'y reviens jamais. Est-ce par lâcheté de ne pas faire ses adieux qu'ils agissent ainsi ?

Je me rappelle que dans un post, j'ai dit moi aussi, que je voulais ne plus écrire, mais je ne le fais pas, puisque c'est en moi, je ne peux pas m'en passer. J'aime déverser ici mes peines et mes joies, mes larmes et mes rires, mes cris et mes tremblements.

Que deviendra JOUEB sans ses jouebbeurs ?

Ecrit par Valandra A., à 13:00 dans la rubrique "Journal en cours".
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Délicatesse infinie...
--> ... le plaisir de donner son corps à l'être aimé.

Dans l'après-midi, infaillible à notre tchat sur le net, on a parlé de sexe. Nous avons longuement énuméré les positions alléchantes qui nous faisaient envie et nous avons décidé de faire l'amour.

Ca va faire une semaine qu'on dort ensemble et jamais rien ne s'est produit jusque là, conséquences menstruelles mais aussi panique de la première fois ensemble.

Pour pouvoir mettre chéri à l'aise, je me suis fait couler un bon bain chaud, la salle de bains s'est remplie de vapeur, et j'ai rajouté quelques litres de bain moussant. Il préparait à dîner dans la cuisine et je l'ai appelé pour un truc banal, je lui ai dis d'un air très sensuel, que j'aimerais qu'il me rejoigne dans l'eau brûlante. Il s'est déshabillé dans le salon et m'est apparu en boxer comme j'aime. Il s'est dénudé totalement et j'ai vu poindre une certaine érection...

Il s'est coulé entre mes jambes et a posé sa tête entre mes seins. Je lui ai caressé le torse en lui faisant couler de l'eau avec une éponge douce. Mes jambes frottaient son sexe déjà bien dur. Il a glissé sa main derrière son dos et m'a délicatement caressé le clitoris pendant que je lui embrassais la nuque. Nous sommes restés dans cette position, les yeux fermés.

Il s'est décidé à se mettre face à moi et m'a posé sur ses cuisses, son sexe me frôlant mon pubis. Il a commencé à m'embrasser tout le corps, les seins, le ventre et a insinué un doigt en moi. Je me suis empressée de saisir son sexe et ai effectué de petit mouvement à l'aide de ma main. Il a fermé les yeux et a gémi. Je sentais l'excitation montait. Il m'a dit en me regardant dans les yeux profondément qu'il avait envie de me pénétrer maintenant. Pensant à notre conversation au sujet de nos rapports qui se devaient d'être protégés, je refusa son invitation quoique très alléchante.

On se décida de sortir de l'eau après multiples caresses excitantes. On dîna puis il me pris dans ses bras et m'allongea sur mon lit. Il commença par m'embrasser très sensuellement puis me couvrit la poitrine de baisers. Doucement et tendrement il descendit vers mon clitoris déjà bien humide et laissa sortir le bout de sa langue et joua avec. Le plaisir en fut décuplé, je gémis, il sourit. Il se redressa et me fit venir sur lui, je m'entrepris de me frotter contre lui tel une chatte. Son sexe bien dur me caressait le bas-ventre.

Il me mit à genou et me tendis le préservatif, je lui déroula lentement sur sa verge dressée vers moi. Puis il se remit sur le dos, et je fis entrer en moi ce sexe si longtemps désiré. Un frisson de plaisir me parcourut le dos, et mes yeux se fermèrent. Les siens en firent de même, il aima la façon dont je bougeais sur son membre. Mais ne put se retenir plus longtemps et joui.

Il s'allongea entre mes cuisses et me pénétra de nouveau, je relevais mes jambes pour accroître mon plaisir et le sien. Il ferma les yeux, et je sentis les battements de son cœur accélérer. Le plaisir fut minime mais l'essentiel à mes yeux étaient que c'était lui qui me faisait l'amour, qui possédait mon corps et parce que je savais au fond de moi qu'il était très ému par l'amour passionnel que nous partageons.

On fuma une cigarette, moi blotti nue contre lui. Sa main me caressant la hanche et la cuisse. J'avais un peu froid et je me suis levée pour remettre ma nuisette. Il m'allongea de côté sur le lit et se posa entre mes cuisses, je lui embrassais ses lèvres avides de baisers. Il s'entreprit de me couvrir le cou de sa langue chatouilleuse et sensuelle. Je commençais à prendre du plaisir et il me dit dans le creux de l'oreille qu'il avait encore envie de moi. Je saisis son sexe à travers son boxer et effectua de délicats mouvements de va et vient qui le fit durcir presque aussitôt.

Il se leva, alla chercher un nouveau préservatif et en couvrit son sexe. Il me demanda de me déshabiller et se couche sur moi, de nouveau il me pénétra doucement et accéléra le mouvement, je ressentis un peu plus de plaisir que précédemment. Un sourire sur ses lèvres me fit comprendre que lui aussi. Il jouit et resta en moi quelques instants. Se retira et m'embrassa en me demandant, toutefois inquiet, si j'avais pris du plaisir, je lui répondis que oui et il en fut ravi.

Depuis cela, nous n'arrêtons pas de nous caresser, nous ne pouvons pas nous empêcher de se frotter l'un contre l'autre, il m'a fait remarquer que nous étions deux pervers...

Ecrit par Valandra A., à 09:40 dans la rubrique "Journal en cours".
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Jeudi 13 Mai 2004
Influence des mots
--> dans les requêtes

Petite remarque en passant : les surfeurs du net sont tous des obsédés sexuels !

Ce n'est pas une nouvelle, mais bon, je constate que de temps en temps dans le titre de mes posts je mets un mot qui a rapport avec le sexe, et à chaque fois les requêtes se multiplient comme des petits chats (ou des souris voire des lapins).

Bande d'obsédés du zizi sexuel comme dirait Titeuf ! Hier soir dans le lit j'ai trouvé un poil de slip et je n'aime pas ça du tout ! (là je déraille, revenons sur terre Valandra).

Ecrit par Valandra A., à 15:05 dans la rubrique "Journal en cours".
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