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J'ai eu droit à des excuses hier soir. On a dîné et peu parlé. Je suis toujours soucieuse de ce qu'il s'est passé hier matin.
Je ne sais plus quoi penser et j'ai l'impression, enfin je suis certaine, que je me suis monté un bateau sur ses relations avec son amie. Il ne se passe effectivement rien entre eux, et je pense que je suis un peu trop jalouse et possessive. J'aime trop mon homme et je n'aime pas savoir qu'il a de l'affection pour quelqu'un d'autre, surtout si ce quelqu'un d'autre est une fille.
Après dîner, nous sommes allés nous coucher, et il a commencé à me caresser et à m'embrasser. Ca m'a énervée, je n'avais pas envie qu'il me touche ou qu'il m'embrasse. C'est vrai que depuis quelques jours je suis assez énervée et je ne sais pas pourquoi. Tout me crispe et je me stresse. Pffff...
Sentant ma froideur à son égard, il a arrêté ses câlins et je me suis tournée dos à lui afin de lui faire bien comprendre que je voulais qu'il me fiche la paix. Je me suis endormie et il en a fait de même, la télé en sourdine. Un peu plus tard vers je ne sais quelle heure, la télé toujours en sourdine, la lumière grande allumée, il dort. J'attrape les télécommandes et éteint le tout et je lui murmure d'éteindre aussi la lumière. Il se lève, éteint et va dans la salle de bains. Je me rendors de suite, il revient se coucher et me demande si je dors. Bien sûr mais maintenant tu m'as réveillé ! Grrrr.
Qu'est-ce que je peux être désagréable avec lui. J'admire sa patience et sa compréhension quant à mon énervement. Il se prend toutes les brimades que je peux lui sortir et ne se vexe pas pour un sou. J'ai envie de faire des efforts et d'être gentille avec lui, comme je l'étais il y a de ça 3 semaines quand nous nous sommes rencontrés. Mais ce n'est pas si facile, je ne sais plus vraiment ce que c'est de vivre avec quelqu'un d'autre et de supporter cette même personne 24h/24h. Mais il faut que j'arrête ma méchanceté et mes remarques déplacées.
Si j'étais à sa place, je gueulerais un bon coup, mais ce n'est pas son genre, il est plutôt du style j'encaisse et je ferme ma gueule.
En fouillant sur mon PC, j'ai retrouvé ce texte :
L'abattement est là, je le sens, je suis lasse de combattre ce fléau qui me ronge intérieurement. J'ai envie de crier, de pleurer, de courir loin où le vent pourra m'emporter, loin mais assez proche de lui. J'en suis à ne pas ressentir la faim qui s'installe là dans mon antre stomacal. Je suis en pleine folie de mon corps intérieur. Je délire, je vois des images défiler dans ma tête, et puis l'image se stoppe d'elle-même, comme un arrêt sur image. Et je vois ce que je n'ai plus envie de regarder. Je me vois seule au monde, désespérément seule, abandonnée. Je vois les hommes qui sont passés dans mon existence, ceux que j'aimerais oublier et ceux dont j'aimerais me souvenir à jamais. Je vois et je revis mes expériences douloureuses où dans certaines attentes angoissantes, je vivais à ses côtés, lui, mon ex. Je ressens de nouveau ce pincement au coeur, cette sorte d'arrachement brutal de mes viscères, comme une main qui extirpe tout de moi et me laisse mourir sur un sol froid avec mon sang qui s'écoule d'une teinte d'un rouge sombre où se détache des lambeaux de ma peau blanchâtre. La concentration sur ces images passées m'éloigne un peu plus du réel à chaque retour en arrière. J'aimerais, une bonne fois pour toutes, lobotomiser ces souvenirs qui me hantent. Je vois aussi les bons moments et ça me donne envie de les revivre, ces rares moments de bonheur et de joie intense. Hier, je me suis baladée sans but sur les Champs, et pour une fois retrouvant mon chemin, même en marchant sans regarder où j'allais. Je me sentais bien, je marchais droit devant, le vent sur mon visage et mes yeux qui jetaient de chaudes larmes. Je me suis assise, et j'ai regardé le Paris qui s'étendait sous mes pieds. Le week-end prochain, je m'en irais loin, du bruit et des voitures, j'irais là où je me sentirais au-dessus de tout, et en rêve, je survolerais la capitale. J'irais là où les rues sont étroites, là où les boutiques sont minuscules et je m'assoirais de nouveau au-dessus de ce monde, et je scruterais tout et n'importe quoi. Enfin, je fermerais les yeux et je laisserais aller mon esprit loin de cette ville qui ne veut pas de moi. Loin de tout ce monde qui ne m'aime pas, loin, loin... Je rêverais un jour peut-être à ce que je désire en ce moment, je vois aussi cette image dans mon esprit, cette pause merveilleuse où lui et moi nous sommes ensemble et où nous vivons heureux et simplement. Je vois ses mains sur mon ventre rond, et son sourire qui me fait ressentir tout l'amour qu'il me porte, mais je vois aussi, la souffrance lors de la venue au monde de cet être qui aura grandi en moi. Et je vois plein d'autres choses dont je n'ai pas envie de parler ici...
Je ne sais pas quand ni pourquoi j'avais écris ce texte mais je devais être dans un sale état.
FIN ?
Je viens de parcourir nombres de joueb et la plupart des articles parlent de fermeture !
Qu'arrive-t-il donc à la communauté des jouebbeurs ? Décidément, rien ne va plus...
Peut-on faire quelque chose contre toutes ces envies d'arrêter d'écrire, de s'exprimer librement et en toute simplicité ? Est-ce dû au ralentissement de serveur qu'à connu JOUEB ?
Et cette façon d'écrire un tout dernier post en faisant ses adieux à ses lecteurs ! Je n'aime pas les adieux en général, je n'aime pas lorsque la personne part au loin, le cœur gros et les larmes aux bords des yeux, en se disant que c'est la dernière fois qu'on verra cette personne si chère à notre cœur et à notre esprit.
C'est ce que j'ai ressenti en lisant le dernier post de Wus, j'aimais bien moi le lire.
Si le jouebbeur ne ferme pas son blog, il déclare qu'il laisse de côté un petit moment puis n'y reviens jamais. Est-ce par lâcheté de ne pas faire ses adieux qu'ils agissent ainsi ?
Je me rappelle que dans un post, j'ai dit moi aussi, que je voulais ne plus écrire, mais je ne le fais pas, puisque c'est en moi, je ne peux pas m'en passer. J'aime déverser ici mes peines et mes joies, mes larmes et mes rires, mes cris et mes tremblements.
Que deviendra JOUEB sans ses jouebbeurs ?
Dans l'après-midi, infaillible à notre tchat sur le net, on a parlé de sexe. Nous avons longuement énuméré les positions alléchantes qui nous faisaient envie et nous avons décidé de faire l'amour.
Ca va faire une semaine qu'on dort ensemble et jamais rien ne s'est produit jusque là, conséquences menstruelles mais aussi panique de la première fois ensemble.
Pour pouvoir mettre chéri à l'aise, je me suis fait couler un bon bain chaud, la salle de bains s'est remplie de vapeur, et j'ai rajouté quelques litres de bain moussant. Il préparait à dîner dans la cuisine et je l'ai appelé pour un truc banal, je lui ai dis d'un air très sensuel, que j'aimerais qu'il me rejoigne dans l'eau brûlante. Il s'est déshabillé dans le salon et m'est apparu en boxer comme j'aime. Il s'est dénudé totalement et j'ai vu poindre une certaine érection...
Il s'est coulé entre mes jambes et a posé sa tête entre mes seins. Je lui ai caressé le torse en lui faisant couler de l'eau avec une éponge douce. Mes jambes frottaient son sexe déjà bien dur. Il a glissé sa main derrière son dos et m'a délicatement caressé le clitoris pendant que je lui embrassais la nuque. Nous sommes restés dans cette position, les yeux fermés.
Il s'est décidé à se mettre face à moi et m'a posé sur ses cuisses, son sexe me frôlant mon pubis. Il a commencé à m'embrasser tout le corps, les seins, le ventre et a insinué un doigt en moi. Je me suis empressée de saisir son sexe et ai effectué de petit mouvement à l'aide de ma main. Il a fermé les yeux et a gémi. Je sentais l'excitation montait. Il m'a dit en me regardant dans les yeux profondément qu'il avait envie de me pénétrer maintenant. Pensant à notre conversation au sujet de nos rapports qui se devaient d'être protégés, je refusa son invitation quoique très alléchante.
On se décida de sortir de l'eau après multiples caresses excitantes. On dîna puis il me pris dans ses bras et m'allongea sur mon lit. Il commença par m'embrasser très sensuellement puis me couvrit la poitrine de baisers. Doucement et tendrement il descendit vers mon clitoris déjà bien humide et laissa sortir le bout de sa langue et joua avec. Le plaisir en fut décuplé, je gémis, il sourit. Il se redressa et me fit venir sur lui, je m'entrepris de me frotter contre lui tel une chatte. Son sexe bien dur me caressait le bas-ventre.
Il me mit à genou et me tendis le préservatif, je lui déroula lentement sur sa verge dressée vers moi. Puis il se remit sur le dos, et je fis entrer en moi ce sexe si longtemps désiré. Un frisson de plaisir me parcourut le dos, et mes yeux se fermèrent. Les siens en firent de même, il aima la façon dont je bougeais sur son membre. Mais ne put se retenir plus longtemps et joui.
Il s'allongea entre mes cuisses et me pénétra de nouveau, je relevais mes jambes pour accroître mon plaisir et le sien. Il ferma les yeux, et je sentis les battements de son cœur accélérer. Le plaisir fut minime mais l'essentiel à mes yeux étaient que c'était lui qui me faisait l'amour, qui possédait mon corps et parce que je savais au fond de moi qu'il était très ému par l'amour passionnel que nous partageons.
On fuma une cigarette, moi blotti nue contre lui. Sa main me caressant la hanche et la cuisse. J'avais un peu froid et je me suis levée pour remettre ma nuisette. Il m'allongea de côté sur le lit et se posa entre mes cuisses, je lui embrassais ses lèvres avides de baisers. Il s'entreprit de me couvrir le cou de sa langue chatouilleuse et sensuelle. Je commençais à prendre du plaisir et il me dit dans le creux de l'oreille qu'il avait encore envie de moi. Je saisis son sexe à travers son boxer et effectua de délicats mouvements de va et vient qui le fit durcir presque aussitôt.
Il se leva, alla chercher un nouveau préservatif et en couvrit son sexe. Il me demanda de me déshabiller et se couche sur moi, de nouveau il me pénétra doucement et accéléra le mouvement, je ressentis un peu plus de plaisir que précédemment. Un sourire sur ses lèvres me fit comprendre que lui aussi. Il jouit et resta en moi quelques instants. Se retira et m'embrassa en me demandant, toutefois inquiet, si j'avais pris du plaisir, je lui répondis que oui et il en fut ravi.
Depuis cela, nous n'arrêtons pas de nous caresser, nous ne pouvons pas nous empêcher de se frotter l'un contre l'autre, il m'a fait remarquer que nous étions deux pervers...
Petite remarque en passant : les surfeurs du net sont tous des obsédés sexuels !
Ce n'est pas une nouvelle, mais bon, je constate que de temps en temps dans le titre de mes posts je mets un mot qui a rapport avec le sexe, et à chaque fois les requêtes se multiplient comme des petits chats (ou des souris voire des lapins).
Bande d'obsédés du zizi sexuel comme dirait Titeuf ! Hier soir dans le lit j'ai trouvé un poil de slip et je n'aime pas ça du tout ! (là je déraille, revenons sur terre Valandra).