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"Là où l'on se sent le mieux est encore mieux que là où l'on se sent bien"

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Rien ne t'efface.... suite et fin

Ai plus envie de rien en cet instant, là devant ce PC qui ne m'appartient que très peu...

Je pense sans arrêt à l'homme qui pourra un jour être dans ma vie, je pense aussi à T. que fait-il avec sa nouvelle conquête ? Répondra t-il à mon mail que j'ai eu la connerie d'envoyer ce matin ? Je me pose décidément beaucoup trop de questions, moi....

Pour en terminer avec l'abattement général qui règne dans mon corps, dans le bureau nous avons la radio, qui ne passe que des chansons à pleurer. Ce matin, JJG "Pas toi". Le refrain me correspond parfaitement : "Quoique je fasse ou que je sois, rien ne t'efface, je pense à toi. Quoique j'apprenne je ne sais pas, pourquoi je saigne, et pas toi". Souffrir toujours seule et savoir que l'autre s'en moque comme de sa première chemise (ou de son premier slip, ça dépend qui est arrivé avant l'autre !). Il me reste encore quand même quelques humours à disséminer au gré de mes émotions.

Je conversais avec mon Coeur avant de manger. Il me demandait si ça me plairait d'utiliser un god lorsque nous ferons l'amour (si on peut appeler ça ainsi...). Je me demande bien ce qu'il peut y avoir d'excitant, je n'aime pas le faux et préfère cent fois le naturel, je ne me contente que de ce que l'autre à a m'apporter de lui, je ne veux pas de choses artificiels, ce n'est pas identique. Rien ne peut remplacer le doux contact d'un sexe bien dur en moi, rien....

Je lui disais justement que plus ça allait dans le temps et plus je devenais accroc au sexe. Avant, lorsque j'étais avec mon Seb, je n'étais pas comme ça, j'étais même très prude avec lui. Si nous étions encore ensemble, le bonhomme il en prendrait pour son compte. Je ne me lasserais pas de lui, de son corps... A l'époque déjà, la simple idée de son corps nu sous la douche, me donnait la fièvre mais je n'osais pas aller plus loin avec lui, franchir les barrières que je m'étais posé, rien que des choses tabous sans aucune gène apparente. Pourquoi ai-je été ainsi, lui qui me réclamait sans cesse des moments hot... Je ne sais pas, je ne sais plus...

Ecrit par Guizmo, à 13:05 dans la rubrique "Journal en cours".



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