Monde rempli de vide

Hier soir, je me mate Blairwitch 2...

Comme de bien entendu, réveil à 2 heures du matin entre frisson et cauchemar. Vision d'horreurs, images rétiniennes persistantes, bouleversement de neurones. Il me prend un truc fou, je textote Manuel pour lui dire que j'ai fais un cauchemar et que je n'arrive plus à dormir. Réponse : je ne sais que faire, juste te serrer dans mes bras, mais je veux plus. Ce qu'il veut je le sais, j'en suis consciente. Au soir, nous parlons sur la messagerie. Je dois trouver un appartement avec pour délai 1 mois de recherche. Je n'ai pas l'argent pour, je commence seulement à économiser pour l'avenir. Je cherche des annonces intéressantes ma foi, puis me vient l'idée de la collocation. J'en parle à Manuel, il me dit oui pourquoi pas. Mais lui précisant que nous aurions chacun notre chambre, il s'offusque et se fâche. Il sait très bien, conscient qu'entre nous, rien ne se passera, peut-être à la limite une passade sexuelle, mais plutôt une fâcheuse tendance à se prendre la tête pour rien. Alors, loin de mes ambitions, je lui laisse entendre que s'il peut me donner des preuves de sa bonne conduite envers moi, la chance lui sourira avec moi. Cela lui permet d'un sens de m'avouer son amour pour ma personne, et de l'autre, de me seriner encore avec ses inhibitions sexuelles. Avec moi, il veut tout tenter, même les trucs inimaginables et les plus tabous. Argh....

M'apercevant brusquement, que je commence toujours mes écrits par une question ou un problème, je me demande un jour, si je ne vais pas écrire une bonne nouvelle, ne serait-ce qu'une seule petite fois.