5 septembre 2003 à 21h33
--> Mon ex grand amour...
Je pensais à lui subitement, et j'ai eu envie de vous le décrire. Si ça vous intéresse pas, passez votre chemin...
On s'est connu en été 1999, dans un centre de rééducation. Ruptures de ligaments, remise en place, etc... Enfin, donc, on s'est vu, parlé, et on s'est aimé tout de suite.
Comme il habitait sur Paris et moi ici, en Vendée, c'était dur de continuer une relation à distance. Le temps qu'on a été ensemble, on ne s'est pas posé la question. Et puis, après mon anniversaire, je suis parti avec lui, pendant 15 jours, sur Paris, avec seul bagage, quelques fringues. Quinze jours de bonheur, et puis, la rentrée de la fac pour lui et moi, je suis partie habiter chez ma grand-mère. En fait, on s'est vu tous les week-ends, les vacances, j'ai trouvé un boulot en intérim, et petit à petit, j'ai ramené mes fringues avec moi et quelques babioles.
Ensuite, en janvier, j'ai pris un petit studio en banlieu. En juillet, ses parents ont déménagé en Vendée, et il est venu habiter avec moi dans mon sudio. Vu l'étroitesse du logement, on a pris un appart tout les deux, après beaucoup de réflexion. Donc, on a vécu comme ça pendant 2 ans. Et puis, un jour, il m'a dit que la situation n'allait plus et que je devais essayer de prendre un logement ailleurs. Il est parti en vacances en juillet et j'ai trouvé un appart, il pensait pas que j'en trouverais un si vite et il était presque triste.Enfin, j'ai emménagé en septembre et ca a bien été pendant 1 ans 1/2, puis un mercredi d'octobre, il est venu et a décidé de faire un "break". Là, j'avais l'impression que le monde s'écroulait autour de moi, j'étais comme ensevelie, je pouvais plus respirer, c'était l'horreur. Enfin, surmonté ce cap, je me suis fait une nouvelle amie et j'ai oublié, elle a vécu dans mon appart, on sortait, en fait, j'ai zappé. Et puis en février de cette année, elle a déménagé. Moi, de mon côté, j'ai pas cherché à rencontrer quelqu'un, et puis en mars, il me dit qu'il a rencontré une autre fille et que je peux "faire ma vie". A ce moment précis, j'aurais voulu ouvrir la fenêtre et m'y jeter. Mais mon bon sens était là, donc j'ai accepté la situation et me voilà revenue ici, chez mes parents, mais pour aussi de multiples raisons citées sur une autre page...
